Des vérités évidentes, une série de photos enivrantes

Vous le savez comme moi, on est ce que l’on mange, ce que l’on pense et qui on fréquente. Dans une société où l’on ne nous apprend pas à aimer mais à consommer, capitaliser et recommencer, il est difficile de voir le monde à travers les yeux de l’amour. Un peu comme on regarde une belle pizza 4 fromages. Ce monde on le voit plus comme un battle royal à la Hunger Games ou Fortnite, dans lequel on est en concurrence permanente les uns avec les autres autres, mais aussi avec sois-même. (Là je parle de ton envie toxique de vouloir en faire toujours plus sans être jamais satisfait de tout ce que tu fais déjà.)

Pourtant notre vraie nature réside en cette capacité à aimer et bonifier tout ce avec quoi on est en relation : le monde dans son entièreté, pas seulement les gens. Mais de ce super-pouvoir, on ne s’en sert pas. Pourquoi ? Puisqu’on ne nous apprend pas à le faire. Le but ici n’est pas de dire que le monde ressemble à ceux qui les dirigent - même si c’est pas mal de s’en rappeler - c’est de prendre conscience que plus on s’évertuera à cultiver l’amour, plus la société dans laquelle nous vivons rayonnera.

Pour simplifier mes propos, disons que si t’es entouré.e de personnes néfastes, dans un environnement stressant, qui ne te fait pas du bien, tu évolueras également en ce sens, jusqu’à tomber dans le cercle vicieux de la souffrance. Et là, on se retrouve dans une société où les gens ont peur et où les corrompus dirigent. En fait, c’est un peu comme quand t’as la grippe et que tu le transmets à un proche par un simple contact. L’amour c’est pareil, tu le cultives de l’intérieur pour le répandre au monde extérieur, en le rendant ainsi meilleur. (Évidemment ça a ses limites, tu ne contamines d’amour que ceux qui t’entourent mais c’est déjà bien assez pour voir un changement s’opérer)

Bon OK dis comme ça, mes mots sonnent peut-être comme étant niaiserie et utopie, or ça ne l’est pas. Je dirais même que c’est mathématique tellement c’en est évident. Parce qu’on parle de notre envie d’un monde meilleur, mais sachez qu’il le serait si on revoyait nos priorités en plaçant l’humain et l’amour au centre de TOUT.

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